Déontologie


DÉONTOLOGIE

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Humilité

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Bonjour Rosae

Je suis sensible à votre message, et je me demandais si un jour j’allais avoir une réaction à cet article.... Bien sur que tout ce qui touche les sentiments en voyance demande une attention particulière et beaucoup de prudence dans les prédictions, nous savons bien que le 100% n’existe pas. Quant à cet article, il voulait parler d’expériences vécues auprès de consultants. Pour résumer, dans leur jeu il était question d’une histoire sentimentale installée, (ce qui n’était pas le cas, puisque rien n’était réel.) Les consultants se focalisaient sur un être qui, lui, n’en avait pas connaissance. La voyante que je suis l’a découvert par le biais d’une vision lors d’une consultation. Juste à la fin -la personne m’a dit qu’il y avait plusieurs années que ça durait dans son esprit -une grande force amoureuse qui s’avérait platonique à souhait (les exemples mentionnés dans l’article sont ceux qui m’ont été donnés par la dites consultante) comme quoi cela peut être trompeur aussi en voyance. Pour terminer, je dirais que les quelques cas rencontrés, vous surprendrez de réalisme. Je crois qu’il ne s’agit pas du tout de ce que vous évoquez là.

Bien cordialement ANY KLER

Bonjour Danica,

Merci, d’avoir cité mon article. A chaque relecture de ce texte j’ai les mêmes sensations : Etre rassurée sur la suite... Après cet évènement je me sentais bien, aucune fatigue, que du bien être, il m’a fallu le temps de la réflexion et de la compréhension. Depuis je sais...Je me documente et fais des recherches pour aller plus loin, sur d’autres sujets comme la TCI, la télépathie, le magnétisme ... Je vous remercie de l’intérêt que vous portez à nos écrits. Je sais qu’il y a un grand nombre de personnes qui vivent des expériences extraordinaires et lorsque nous pouvons en faire quelques discussions, c’est toujours constructif. Ce qu’il faut retenir c’est que l’expérience de décorporation de chacun peut être différente dans les détailles mais toujours avec la même finalité. Votre expérience comme la mienne n’est pas forcement un cas de référence, tout comme notre vie terrestre n’est pas comparable avec d’autres. Voilà pourquoi les exemples sont extrêmement divers, ce qui peut permettre au doute de s’installer, pour certains. Si je peux me permettre, je vous inviterez à prendre connaissance des ouvrages de Mme Jeanne Guesné : Le grand passage : (au courrier du livre 1979). La conscience d’être :(Arista - L’espace bleu. 1983 ) Le Septième Sens ou le corps spirituel : (Albin Michel. 1991). Dans le livre de Hélène Renard : L’après vie. (Pocket) Vous trouverez un passage ou Jeanne, évoque une sortie du corps, qui dans la description et le ressenti évoquent ce que j’ai vécu.

Bien à vous ANY KLER


Extraits d'un ouvrage en gestation .

Les jeudis après - midi, ma sœur et moi nous fréquentions le patronage catholique, du quartier de la rue Elzévir dans le 4ème...
Nous n'étions pas baptisée et n'avions reçues aucune éducation religieuse, ce qui déplaisait aux bonnes sœurs du patronage, le quel faisait aussi office de dispensaire. Nous étions dans les années 55/56, malgré tout, elles nous prodiguaient les soins nécessaires et autres vaccinations... A noël le bon dieu n'était pas de notre côté, Les sœurs organisaient une fête pour tous les enfants, avec un spectacle, un quatre heure et des cadeaux... Nous avions droit au spectacle dans la grande salle toute illuminée, c'était magique pour nous deux. On nous offrait des biscuits et du sirop à l'eau, quant aux cadeaux, il n’y en avait pas pour nous ! - Pas de baptême ! Pas de cadeaux !- Ça, ça vous donne une petite idée de l'ambiance... dans le genre humiliation pour deux gosses de 6 et 8 ans...Croyez-moi, ce ne fut pas les seules...


ILS SONT VENUS CHEZ MOI LES ENVOUTES

La personne qui avait pris RDV, m’avait prévenue " Je ne peux pas monter à l’étage, je suis très fatiguée..." Bon OK, on s’installe au RDC, et j’écoute .... Tous les matins devant ma porte, je retrouve des cailloux, des plumes d’oiseaux...Ce sont "eux "qui mettent ça la nuit. Je n’en peux plus ! Dans la maison, je ressent de l’électricité à certains endroits...Je n’arrive plus à trouver le sommeil... Tout cela me rend malade, ma famille me prend pour une folle, surtout mon mari...Ca fait des mois que ça dure... Depuis que cette personne est rentrée chez-moi tout à l’heure, je ressens un malaise, je n’ai pas prononcé un seul mot. Ca sent la dépression à plein nez. Je me concentre sur ce cas, je fais de gros efforts. Je ressent le mal être de cette femme qui ce laisse aller à une espèce d’abandon. Soudain !... J’ai eu une vision, cette femme aurait été considérée au moyen- age comme une possédée, je ne vous dis pas quel sort lui aurait était réservé à cette époque là. Vous vous en doutez bref... Les possessions des temps anciens, ne sont-elles pas les dépressions d’aujourd’hui ?... Au bout d’une heure de consultation avec elle, (son mari étant resté dans sa voiture) J’ai décortiqué toute sa vie. Finalement, il a été facile de démontrer qu’une mise en scène méthodique avait fini par avoir des influences extrêmement dangereuses psychologiquement sur elle. Cette femme était victime d’un époux qui souhaitait la quitter sans avoir le courage de lui dire en face. Qui est le démon ? Le prétexte de la folie, aurait été la raison d’un divorce plus tard. "ATTENTION, LE RESSENTI D’ENVOUTEMENT EST UNE RAISON TOP SIMPLE...AVANT D’EN ÊTRE CERTAIN, VAUT MIEUX EN DOUTER.» Avant d’envisager un travail de désenvoûtement, il faut être sur de soit. C’est comme prendre un traitement lourd quant on est pas malade. Que devient- on après une telle expérience? ANY KLER


Amour platonique et voyance ( parution sur GOOGLE )

En voyance le domaine amoureux est souvent évoqué et celui de l’amour platonique déroute plus d’un praticien. Souvent lors de mes tirages je "vois" une histoire d’amour puissante, qui est installée depuis un certain temps. Sans indication du consultant(e), si ce n’était qu’un amour platonique ? Un exemple : Un homme et une femme se croisent tous les jours, à la même heure, dans la même rue. Ils noient leurs regards, se mangent des yeux en ce croissant. Le premier mot est sur le bout de la langue de la femme. Une timidité maladive l’empêche tout simplement de lui dire bonjour ! Lorsqu’elle rentre chez elle furieuse de ne pas avoir osé, elle se redonne du courage pour le lendemain... Elle est tombée complètement amoureuse de cet homme en le voyant jour après jour. Il est devenu la raison de son existence, celui pour qui elle se fait jolie le matin, pour seulement l’entrevoir quelques courts instants. Elle est très perturbée, elle souhaite converser avec lui, mais ! ... Comment l’aborder sans passer pour... ? Et puis elle pourrait aussi être extrêmement déçue, le son de sa voix pourrait ne pas lui plaire... Il pourrait lui faire des propositions " malhonnêtes..." et puis le trop connaître lui démontrerait une vérité qu’elle ne serait pas certaine de vouloir accepter. En voyance, ce genre de manifestation est parfois déroutant, les sentiments se présentent très marqués dans le jeu et pourtant, il semble manquer quelque chose qui n’est pas toujours essentiel pour le consultant. Ce dernier s’est installé dans une forme de logique de confort en faisant abstraction d’un échange intime et de relations physiques. Je me suis permis quelques réflexions à propos de ce vaste sujet. J’y ai vu de nombreuses raisons réelles et un peu moins terriennes aussi que voici pêle-mêle : ( liste non exhaustive ) La crainte, le piège, le confort pour les timides, le complexe, la pathologie psychique, l’amour cérébral pour ceux qui ne partagent que leurs idées... Chaque cas est lié à l’imaginaire qui remplace les actes réels : Je te fais vivre devant moi, quand je veux, où je veux et comme je veux ; tu ne me décevras jamais..." C’est toi mon IDÉAL... AK


Voyage astrale ou décorporation ( parution GOOGLE)

Élevée par des parents de religion mixte : père catholique et mère juive polonaise, j’ai eu du mal à construire ma spiritualité. Jamais on ne m’avait imposé une quelconque idéologie, pensant que j’aurais le temps de faire mon choix à l’age adulte. C’est sûrement pour cela que j’ai cherché, analysé et étudié, afin de trouver ma vérité, celle là même qui ne laisse pas de place au hasard. Depuis longtemps je sais que notre chemin est tracé, que nous partons et revenons de nos destinations... que nous devons devenir meilleurs après chaque interruption de "mort". Le but n’étant pas de démontrer ici, ni de débattre sur la réincarnation, mais seulement de vous dire que depuis ma plus jeune enfance, je sais que la mort n’est pas la mort... Et que la vie demeure dans d’autres dimensions. Donc je me considère avertie. Durant des années j’ai cherché à provoquer des manifestations avec l’au-delà sans résultats positifs, mais sans découragements... Les années passèrent jusqu’au jour ou en mars 1998 (le 20) le décès brutal à 68 ans de ma mère, me fut annoncé, 6 mois plus tard ma sœur de 47 ans disparaissait (date de naissance : le 20 mars) 3 autres décès de proches ont suivi. Ils partent tous. Je suis là seule qui reste. Je m’en remets peut à peut. Je ne cherche pas à communiquer avec mes disparus... Je souhaite les laisser en paix, sans rien chercher. Un après-midi de septembre 2002, je me reposais allongée sur mon lit. A l’étage au-dessus, mon fils écoutait de la musique rap à fort volume et je ne trouvais pas le moyen de me détendre. Après mettre énervée à lui dire de baisser le son. Je fis quelques exercices de respiration ventrale. Je ne trouvais pas le repos, la musique résonnait à mes oreilles. D’un seul coup ! Sans rien avoir cherché ni provoqué. Je ne sais pas pour quelle raison, je vis subitement une table blanche, carrée, très lumineuse, qui tenait dans l’espace de ma chambre à 3 m au-dessus de moi. Toujours sans bouger d’un pouce, j’ai eu la sensation de me pencher et de voir une femme brune habillée de rouge et noir assise à cette table, au moment ou je croise son Regard pour voir qui elle était, je sens mes yeux ma bouche, mon nez, mes joues, bref ! Tout mon visage qui vibre et mon corps suit, comme si je partais à grande vitesse (vertigineuse) à bord d’une fusée. Je partais très vite vers des luminosités exceptionnelles des couleurs pâles et éblouissantes, je passais des capes de différentes couleurs, comme des anneaux, avec la sensation d’être emportée vers l’inconnu et toujours en fond sonore le rap de mon fils. Dans un cri je me souviens avoir dit à cette force qui m’emportait dans cette spirale qui m’aspirait "je ne peux pas laisser mon fils tout seul, il à besoin de moi. D’un seul coup très net je suis retombée brutalement sur mon lit, cela fut un choc pur et dur. Cet événement je ne le confie pas souvent, vous comprendrez sûrement pourquoi. Après que cette « aventure expérience » me soit arrivée, j’ai cherché à savoir si je partais pour la "mort" ou seulement pour quelques minutes, durée mon expérience. Je retiendrais aussi le sentiment d’avoir interrompu ce voyage. Ne communique pas qui veut avec l’au-delà à n’importe quel moment. Je sais que ce décollage a représenté pour moi un moment incroyable de bonheur et m’a rassuré de toute appréhension sur "le grand départ". Depuis je me documente et je trouve souvent des cas similaires avec les mêmes réactions physiques.

ANY KLER

LA MORT BRUTALE D’UN JEUNE HOMME

Devant certains évènements la force nous manque, il n’y a pas de honte à être malheureux, quand la fatalité nous frappe brutalement. La force c’est déjà de pouvoir évoquer notre malheur, celui qui nous bloque le ventre et le cœur ! Si non on fait comment ? On ose en parler, on ose aborder le sujet qui nous meurtri en l’occurrence : La mort brutale d’un jeune homme, il y a ses parents, ses amis, cet abandon soudain, qui dépasse l’entendement…
La vie était pleine de lui sans faux semblant. La tendresse habitait son âme, il la cachait par crainte de paraître faible. Il avait la volonté et la force du soldat d’élite, tant qu’à faire… pas faire les choses à moitié. Éternel amoureux, amoureux devant l’éternel. Tu nous a touché jusqu’au vide, jusqu’à la sécheresse de nos orbites. Je ne t’imagine pas sans vie, je ne t’image pas sans sourire et sans passion, le vide est rempli de tes images et de tes délires…
Pour moi la force c’est le partage de la douleur et du chagrin quelque soit nos croyances. La force c’est aussi l’accompagnement, sans ce cacher derrière sa douleur, juste par pudeur des sentiments. Après on doit s’arranger avec soit même, pour que le deuil nous apporte d’autres réponses, des réponses plus spirituelles.
Ils sont nombreux à prendre cette espèce de fusée infernale qui laisse derrière elle la poussière fine de la matière …C’est le néant, qui nous laisse là, sans toi, sans ton apparence, sans ton sourire.
Après la mort l’esprit voyage, il est curieux, il navigue à la vitesse du son, il traverse des univers, des dimensions sublimes, auxquelles ton âme doit s’habituer peut à peut .
Ce voyage serait considéré comme une expérience d’exception, mais allez dire ça à de pauvres parents qui sont dans la désespérance ???
Il n’y a pas de place pour l’irrationnel ou la poésie, il n’y a qu’une place vide. L’actualité est d’un réalisme désarment et désastreux. Il faut vite vieillir pour que la plaie ce referme en laissant son immense cicatrice.
Vite ! Vite ! Fais vite le temps s’il te plait ! Je m’en fout des rides, je m’en fout de moi ! Que la force qui nous guide …Fasse en sorte que l’on ce relève chaque matin un peut moins malheureux …


L’ÉLOGE A LA VIEILLESSE

Je la regarde dormir, la bouche vide, grande ouverte, je crains qu’un quelconque insecte ne vienne lui chatouiller la glotte ou l'étouffer. C’est toujours ainsi quand elle dort l’aïeule. M’approchant de son lit, je guette son souffle avec dans l’idée qu'il pourrait ce rompre et lui ôter le peu de vie qui lui reste. Je me souviens des inquiétudes que j'éprouvais lorsque je surveillais le sommeil de mes enfants nourrissons, de peur qu'ils oublient de respirer.

Est - ce que ce serait doux, brutal ou douloureux pour elle ? Si tout s'arrêtait là en dormant ? Je n'en sais rien!

J'ai l'habitude de l'observer en lui disant bonjour le matin, je vois la ride nouvelle, la cerne foncer sous son regard bleu, la fatigue du temps prendre sa place. Faut surtout pas poser la question qui tue " Ca va bien ? " donc je ne l'a pose plus... j'évite les mauvaises réponses et les plaintes. Chaque jour est un jour de gagné sur l'âge, pour ne pas dire sur la vieillesse, ou un jour de perdu sur le meilleur à venir. Que de compromis avec sa santé, de souffrances morales pour obtenir le passeport final, dans ces conditions-là ... pour d'autres c'est plus rapide, si tout peut s'expliquer. (J’y reviendrais dans un autre chapitre.)

L'attention que je lui porte à ces moments-là, ressemble à de la curiosité physiologique. Au bout du compte la question que l'on se pose tous avant d'y être confronté ; ça fait quoi de vieillir, dans son corps, dans sa tête ? Ça donne peut être envie d'accepter son sort ! En ce qui l'a concerné, elle ce plein sans prendre vraiment conscience de la gravité de son état, surtout lors des crises cardiaques... Ce qui compte, comme la plus part des personnes dans son cas c'est de rester coute que coute dans sa maison, alors on y reste... On vit les ambiances et les signes du déclin : Les pantoufles qui trainent de plus en plus, les mots que je dois répéter plus fort, une fois pour l'oreille, un coup pour la mémoire et une dernière fois pour la colère ! Je passe rapidement sur les détails du genre... la nourriture mixée, les radiateurs à fond, en été, les caprices d'enfants et la peur de tout...

Dans mes moments de calme, je lui souhaite de ne plus se réveiller , de revenir à la légèreté de son être de son corps - pas gros, mais si lourd à porter - et de retourner dans l'au- delà ... Cela ne veut pas dire, lui souhaiter la " mort " ( quel vilain mot! ) Mais juste la délivrance, le mieux-être, le ailleurs... j’éprouve une certaine tendresse pour elle par moments, à d'autres je manifeste mon désaccord lorsque qu'elle exerce sur moi son droit d'ainées, je n'accepte aucune remontrance. Il ne fait pas bon de vivre avec un être vieux ! Ça me donne l'impression de vieillir prématurément, de ressentir toutes ses douleurs en avant-première d'une réduction de mes capacités. Vivre avec un vieux, ça dépend quel vieux, évidement ! Y en a parfois des supers, qui ont eux aussi leurs maux et conservent le sens de l'humour et du bon esprit. Là, n’y a rien de tout ça ! Par ce " qu’elle " ce sent punie par ce mal être, elle attend de la reconnaissance de son état et de la compassion. Je n’ai pas suffisamment de grandeur d’âme, je ne veux pas entrer dans ce sentiment de pitié, même si j'en ressens, je n'en fais pas allusion. Rien n'est simple avec une personne âgée et psychologiquement fragile on doit composer sans trop aller dans l'empathie, parfois je l'a soupçonné d'être jalouse ou envieuse de mon état de brue face à elle. Mon jeune âge aussi (62 ans !!! faut pas pousser non plus !!! mais ... je ne suis pas de la première jeunesse, c’est ce qui lui fait dire banalement « Vous verrez quand vous aurez mon âge" Honnêtement, je ne souhaite ne pas y arriver !

Je me sens partir dans une déprime qui ne m'appartiens pas... il faut que je me sauve, que je me protège à tout prix de cette dénaturation prématurée ! C'est comme un miroir qui me transmet ma future image. " Elle", elle ne se regarde plus dans la glace, elle oublie de ce coiffer de ce laver… elle oublie tout, sauf une seule chose qui a pris une importance capitale et qui l’a rendue complètement dépendante, c’est le scrabble, et les desserts. Elle va pas tout de même s'excuser de vieillir, elle n'a rien demandé, elle me le fait comprendre au quotidien... L’énigme reste entière et les questions aussi. J'ai trouvé les réponses, je ne vous les ferais pas simpliste . Évidemment pour trouver les réponses, il faut d'abord ce poser les bonnes questions : d’où venons-nous ? Qui sommes-nous et pourquoi sommes-nous ici ? Bien sûr, où allons-nous ? Il a fallu chercher, ce documenter, faire les bonnes rencontres, les bons choix de lectures ...

...Je cherche une logique, une explication rationnelle, afin de comprendre la raison de la déchéance et la dégradation du corps physique, de l'intelligence humaine, bref ... la matière. De vieillir et de se détériorer, ne nous faciliterait t – il pas l’acceptation de la mort physique ? " L’après vie " ne serait- elle pas meilleure après autant de souffrances terrestres ? Est-ce que le fait de devenir vieux, laid, méchant ou moins bon, peut nous permettre de ne pas être regretté ? Ces états ne sont- ils pas programmés pour éviter le chagrin des nôtres ? Et nous permettre de souhaiter quitter la vie terrestre par soulagement ou par délivrance ? Afin de nous détacher plus facilement !

Pour ma part je crois qu'il en est ainsi dans les cas de mort naturelle dû au vieillissement. Partir abimé et malade, rester tard dans la vie, vivre longtemps n’est pas forcément une récompense ! Pourquoi certains vieillissent et d'autres meurt prématurément à tous âges ? Pour cela il y a d'autres explications possibles... Cette façon de voir les choses représente une vision du côté du monde des vivants dans le sens de la matière, de l'apparence, sans pour cela y voire une interprétation spirituelle.

Concernant les décès prématurés, d’enfants ou de personnes jeunes, des morts violentes ou par maladies mais des départs plus injuste que ceux des personnes de âges.

J’ai trouvé mon mode d’explication des hypothèses qui sans nous consoler nous donneraient des raisons qui combleraient le manque ou nous permettrait l’acceptation de l’inacceptable, avec du temps et une aide. Un jour j’ai entendu un homme dire « En acceptant de mettre un enfant au monde, j’avais conscience qu’il ne s’agissait pas d’un être immortel ! Je savais que nous serions séparés tôt ou tard ! »


Ce que moi je sais, n'engage que moi. nous sommes des intermittents de la vie ,ceci indéfiniment, ( ou sur un temps compté qui serait défini par nos comportements dans chacune de nos existences) comme les saisons et tous les éléments de la nature (j’y reviendrais). Rien ne meurt tout recommence...

Sans vouloir convaincre quiconque, ceci correspond à ma philosophie, à mes croyances, à mes expériences, à mon vécu et à mes maîtres auxquels je réserverais un chapitre plus loin.

Il y a bien fallu qu'un jour toute cette population planétaire arrive au monde, il a bien fallu que le premier être vivant arrive, qu'il soit végétal animal ou humain ... (si tant soit peu l'homme n'est pas un animal... )